Balado: Cynthia Phaneuf | Rétrospective de ma carrière de juge | Souvenirs de Vancouver 2010 | Une bosse sur la tête n’est jamais une bonne chose! | Et plus…

En vedette Cynthia Phaneuf

La double championne Cynthia Phaneuf parle de sa carrière sur la glace et hors glace depuis sa retraite en 2012, et exprime comment sa vie a changé depuis sa dernière performance en compétition.

Cynthia a vécue une agréable transition et sa famille passe avant tout.  Avec trois jeunes enfants, elle reconnaît l’énorme contribution de sa propre famille pour l’aider à vivre son rêve de patiner.  Quels chemins ses enfants emprunteront-ils?  Elle sera là pour soutenir leurs rêves. Rejoignons Cynthia et la présidente des anciens Debbi Wilkes alors qu’ils se reconnectent et nous informent tous sur les voyages et les succès de Cynthia.

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*Balado uniquement en anglais

Rétrospective de ma carrière de juge

Par Susan Blatz, officielle internationale à la retraite

Susan Blatz – Célébration de la retraite aux Championnats canadiens de patinage 2020 -PHOTO: Greg Kolz

Je me rappelle, tout juste après avoir célébré mes 16 ans, mes débuts à titre de juge, avec deux amis patineurs, à des épreuves de danse préliminaire et junior bronze, à la Weston Summer Skating School. Juger était une attente de mon entraîneur, Louis Stong, et c’est ainsi que nous avons tous commencé à exercer cette fonction.

J’ai poursuivi ma progression et réussi l’examen de juge de patinage en simple et en couple de l’ISU, en 1992, à Oberstdorf, en Allemagne. Quel défi! Quelques-uns d’entre nous avaient étudié dans le train, durant le trajet de Saint-Gervais, en France, à Oberstdorf, à l’aide de fiches d’étude que j’avais créées avant de quitter le Canada. Dieu merci, ces fiches nous ont permis de nous concentrer, surtout du fait que nous devions mémoriser les règlements! Le processus d’examen a été couronné de succès, de même que la compétition.

Je me remémore tant de précieux souvenirs de compétitions, de rencontre d’amis et de nouveaux patineurs, entraîneurs et collègues.

Ce qui reste indélébile, dans ma mémoire, c’est l’épreuve féminine senior à Montréal, au terme de laquelle Tracey Wainman n’a pu défendre son titre (un moment très triste et stressant pour beaucoup d’entre nous) et ensuite d’être membre du jury, deux ans plus tard, lorsque Tracey a exécuté un superbe programme et repris son titre. En tant que juge des deux épreuves, j’étais très excitée quand on a annoncé que Tracey était la gagnante. Quel hommage pour elle et quel grand sentiment de joie m’a apporté sa victoire.

Tracey Wainman

Je me souviens de deux autres compétitions, l’une un Défi nord-américain et l’autre un Grand Prix junior, auxquelles Tessa Virtue et Scott Moir ont participé. Oui, j’étais affectée aux épreuves de danse, à ces compétitions, et oui, aux deux compétitions, Tessa et Scott ont patiné magnifiquement, mais n’ont pas obtenu le classement que je croyais qu’ils auraient dû avoir, selon mes notes et la réaction des spectateurs. C’était un plaisir de regarder et de juger ces deux patineurs.

J’ai tellement de souvenirs de patineurs qui ont subi des tests de figure, de style libre et de danse. À de nombreuses occasions, des patineurs m’ont incité à explorer des solutions de rechange à certains des règlements, des attentes et des idées qu’on rencontre habituellement à des séances de tests et à des compétitions.

Je me souviens de l’alerte d’incendie à l’un des championnats de section (où j’étais la représentante technique), quand nous avons dû interrompre, au milieu de son programme, la patineuse qui se trouvait sur la glace et évacuer le bâtiment. J’ai dû vraiment adapter mon horaire du reste de la journée pour que nous puissions terminer avant minuit!

Inutile de dire que la famille du patinage a représenté une merveilleuse partie de ma vie.

Ma mère et mon père étaient tous deux des juges et ma sœur cadette est contrôleuse et spécialiste de données. Mon frère aîné et mon autre sœur sont très passionnés de patinage et suivent le patinage artistique d’aussi près que moi.

J’apprécie les relations établies et les amitiés nouées avec des gens du monde du patinage artistique et j’espère que ces liens se maintiendront malgré ma « retraite ».

Célébration de la retraite aux Championnats canadiens de patinage 2020 -PHOTO: Greg Kolz
Célébration de la retraite aux Championnats canadiens de patinage 2020 -PHOTO: Greg Kolz
Célébration de la retraite aux Championnats canadiens de patinage 2020 -PHOTO: Greg Kolz
Célébration de la retraite aux Championnats canadiens de patinage 2020 -PHOTO: Greg Kolz
Célébration de la retraite aux Championnats canadiens de patinage 2020 -PHOTO: Greg Kolz

Souvenirs de Vancouver 2010

Des plus brillants exploits….

Par Sally Rehorick, officielle internationale retraitée

Au grand étonnement de tous, les Jeux olympiques et paralympiques de Vancouver sont terminés. Ce fut une surprise pour moi aussi.

En fait, les XXIe Jeux olympiques d’hiver ont célébré un anniversaire marquant, en février 2020. Il y a dix ans, le 12 février 2010, la flamme olympique a été allumée à Vancouver, C.-B., et pour nous c’était le signal de départ. La flamme – un symbole éclatant de ces Jeux uniques – a brillé jusqu’au 28 février 2010. Seize jours remplis de moments inoubliables, pas tous joyeux, mais aucun plus notable que le suivant. Est-ce qu’une décennie s’était déjà écoulée?

Célébrations et gala de Vancouver 2010

Je dis que c’était pour « nous » le signal de départ pour quelques raisons. Personnellement, en tant que membre de l’équipe de direction du Comité organisateur de Vancouver (COVAN), pendant trois ans et demi, j’avais du mal à croire que nous étions prêts pour le lancement. Lorsque je me suis jointe au COVAN, en 2006, il y avait 146 employés. Au moment de l’ouverture des Jeux, il y avait environ 1 200 employés et 3 500 membres de ce qu’on appelle la famille olympique et paralympique. Avec les athlètes et les bénévoles, le nombre total d’accréditations attribuées atteignait presque 95 000. Très peu de ces accréditations donnaient toutefois accès aux événements sportifs. Une accréditation n’est accordée que pour le rôle particulier de la personne qui la porte et la plupart des personnes accréditées exerçaient des fonctions qui n’étaient pas liées aux sites sportifs, comme les traducteurs pour les documents écrits et les artistes de spectacle des cérémonies d’ouverture et de clôture.

La complexité de l’organisation des « Jeux » s’est reflétée dans l’assurance que je ressentais – et qui me terrifiait en quelque sorte – trois mois avant l’ouverture, que nous ne serions pas prêts. Non pas que le jour d’ouverture a été « parfait ». Il y a eu la tragédie du lugeur géorgien. Puis, la disparition du groupe entier de dignitaires internationaux qui étaient transportés, par autobus, aux cérémonies d’ouverture (qui l’aurait deviné? très peu d’entre eux). Sans oublier, la grande flaque d’eau dans laquelle la princesse Anne, membre du CIO, a mis le pied, non, s’est plutôt éclaboussée, en essayant de remonter dans l’autobus pour retourner à l’hôtel, après la cérémonie d’ouverture.

La deuxième raison de l’utilisation de « nous » est que les Jeux de Vancouver avaient une beaucoup plus grande envergure que ce qui se passait dans la région de Vancouver/Whistler. Il y avait le parcours de la flamme qui a traversé le Canada pendant 106 jours, donnant à 12 000 porteurs de flambeau un souvenir qu’ils garderaient pendant toute leur vie. Oh, et en passant, saviez‑vous que la Dr Jane Moran, chef de la commission médicale de l’Union internationale de patinage (ISU) et résidente de Victoria, était le médecin pour le parcours et a couru à travers le Canada avec l’équipe du flambeau? Mais, il y avait aussi le fait que ces Jeux englobaient tout le pays : John Furlong, notre président du comité organisateur des Jeux, a prononcé de sages paroles à la cérémonie de clôture, déclarant que l’esprit et l’âme des 33 millions de Canadiens avaient été intégrés dans le tissu de ces Jeux d’hiver. Ce parcours ne se limitait pas à quelques-uns, mais englobait beaucoup de gens.

Cette photo représente l’esprit national et local des Jeux de 2010.

Maintenant, revenons au 10e anniversaire des Jeux! La Fondation olympique canadienne a organisé un gala pour célébrer l’occasion.

Patinage Canada a participé au gala en réservant une table pour huit personnes chanceuses. Le gala a eu lieu, à juste titre, au Vancouver Convention Centre, l’édifice emblématique où se trouvait le personnel des médias de diffusion pendant les Jeux. Veuillez noter comme ci-dessus que le gala était un événement plutôt chic, avec tenue de soirée facultative, ce qui signifiait que les invités étaient tous élégamment vêtus et se comportaient (raisonnablement) bien. En outre, à juste titre, la flamme olympique avait majestueusement brûlé sur la place à côté du centre des congrès, pendant toute la durée des Jeux. Elle a été rallumée à l’occasion du 10e anniversaire et une célébration parallèle s’est déroulée sur la place, où on pouvait voir beaucoup de gens portant les vestes olympiques de « schtroumpf » (la marque bleu turquoise de l’uniforme emblématique du personnel et des bénévoles des Jeux).

 

G-D: Drago Stipanic, Celina Stipanic, Liam Firus, Sally Rehorick, Patrick Chan, Elizabeth Putnam, Megan Wing, Aaron Lowe, Vaughn Chipeur, Kevin Reynolds, Alaine Chartrand
G-D: Megan Wing, Arron Lowe, Elizabeth Putnam, Patrick Chan
Alaine Chartrand et Joannie Rochette

Le gala a été magnifique. La présence de nombreux Olympiens surtout, mais pas seulement, de Vancouver 2010, a rendu l’événement particulièrement spécial. Ces photos montrent les invités représentant Patinage Canada, ainsi que d’autres qui ont participé aux Jeux de 2010.

Il est toujours difficile de capturer l’essence même de quelque chose d’aussi grand et si plein de souvenirs. Les photos ci-dessous y rendent justice.

Photos avec l’aimable autorisation d’Alaine Chartrand, double championne nationale féminine (2016, 2019).

Kevin Reynolds et Alaine Chartrand

Ce fut une soirée inoubliable. Kevin Reynolds (champion des Championnats des quatre continents 2013, médaillé de bronze des Championnats des quatre continents 2010, médaillé d’argent de l’épreuve par équipe aux Jeux olympiques d’hiver de 2014 et six fois médaillé des Championnats canadiens) l’a résumée comme suit :

« La soirée nous a donné l’occasion de nous remémorer les 10 années qui ont suivi Vancouver 2010. Entendre les histoires des figures emblématiques et des champions des Jeux – savoir qu’ils ressentaient ce que nous ressentions tous en les regardant concourir – était à la fois révélateur et inspirant. Pour conclure une merveilleuse soirée remplie d’un énorme appui pour nos athlètes, notre pays et les uns les autres, ce qui m’est vraiment resté dans l’esprit, c’est le discours émouvant, prononcé par John Furlong. Il a parlé des préparatifs des Jeux de 2010, à Vancouver, et de ce qui les a rendus possibles : les sacrifices, la détermination, l’esprit de solidarité du pays, une histoire incroyable en soi. Puis, il s’est tourné vers l’avenir : la possibilité de la tenue à nouveau des Jeux au Canada, à Vancouver en 2030, et dans la salle a ravivé le dynamisme que nous avons tous ressenti, alors que nous nous attendions à accueillir le monde il y a 10 ans. »

Post-scriptum

J’ai participé à sept Jeux olympiques, chacun avec une accréditation différente autour du cou. Cinq d’entre eux étaient à titre de bénévole et deux en tant que membre du comité organisateur. Chacune de ces expériences m’a permis de constater un truisme s’appliquant à chacun d’eux : quand on est « aux Jeux », on ne « voit » pas les Jeux. J’ai remarqué qu’à chacun des Jeux, je n’ai jamais vu tout le tableau, parce que j’étais l’une des 95 000 personnes accréditées qui exerçaient leurs fonctions. Les Jeux sont une grande mosaïque et chaque participant ne participe qu’à quelques morceaux de cette mosaïque. En fait, à Vancouver 2010, mon mari David (un bénévole dans le village des athlètes) et moi devions regarder la télévision chaque soir pour voir ce qui s’était passé aux Jeux ce jour-là! Steve Milton, membre du Temple de la renommée de Patinage Canada et journaliste de renom, a fait la déclaration suivante à propos du rôle des médias dans la narration de l’histoire : « Le visage du patinage artistique que voit le monde est présenté par ceux qui en rendent compte. Les conteurs établissent le lien entre nous ». On peut dire la même chose des Jeux olympiques. Et, je suis éternellement reconnaissante aux journalistes, comme Steve, qui nous relient avec des reportages exacts et prodigieux.

Une bosse sur la tête n’est jamais une bonne chose!

Par Debbi Wilkes, médaillé olympique

Comme les temps ont changé!

L’annonce de Patinage Canada de son application éducative sur les commotions cérébrales m’a rappelé mes jours de compétition, lorsque l’expression « commotion cérébrale » ne venait même pas à l’esprit en médecine sportive. En fait, je ne suis même pas certaine que la « médecine sportive » existait à ce moment. L’âge des ténèbres!

C’était en 1963. Guy et moi devions concourir aux Championnats du monde à Cortina, en Italie.

Cortina, Italie

Le paysage dans les Alpes italiennes était à couper le souffle et nous voulions en profiter en organisant une journée pour prendre quelques photos promotionnelles, en plein air. À l’extérieur de notre hôtel se trouvait une petite surface de glace naturelle, située entre des bancs de neige en face et des montagnes aux sommets enneigés à l’arrière… une image parfaite!

Le jour où était prévue notre séance de photos, le soleil brillait et la neige scintillait comme des diamants… c’était comme si nous avions été transportés par magie dans un pays féerique. Cependant, comme nous l’avons rapidement découvert, la surface naturelle de la glace présentait quelques défis.

Avec le soleil qui brillait de son plus vif éclat, de grandes parties de la glace étaient douces et collantes, tandis que dans les parties ombragées la glace était très dure et il était difficile d’y adhérer, même avec des patins bien affûtés. Néanmoins, nous avons choisi ce que nous considérions être la scène offrant la plus belle toile de fond et avons chorégraphié le placement exact des levées, que nous voulions faire photographier.

Une de nos levées favorites, parce qu’elle était photogénique, était celle que nous appelions la « levée Adagio », pour laquelle la patineuse se trouve à l’envers sur la main du patineur dont le bras est en pleine extension vers le haut. Vous pourriez la reconnaître aujourd’hui comme étant une levée drapée, assez courante en patinage en couple moderne, mais interdite en compétition dans les années 60.

La photo prise ce jour-là était spectaculaire… mais ce qu’elle n’a pas montré, c’est que deux secondes plus tard, Guy a perdu son équilibre sur la glace inégale et est tombé à la renverse, un mouvement qui m’a projetée aussi vers l’arrière, tête première et à l’envers sur la glace, d’une hauteur de 7 pieds dans les airs.

Heureusement, je n’ai aucun souvenir de la chute. Je me souviens seulement de m’être réveillée dans le petit hôpital de montagne local. Et, le lendemain, après avoir subi ce qu’on a éventuellement diagnostiqué au Canada comme étant une fissure du crâne avec une hémorragie interne, la moitié de mon visage était paralysé.

Bien sûr, mes jours de patinage à Cortina étaient terminés. Nous nous sommes immédiatement retirés de l’événement et avons fait nos valises pour rentrer à la maison, pour que j’obtienne des soins médicaux de premier ordre à Toronto. Il m’a fallu plusieurs mois pour me rétablir, mais grâce à ces superbes soins, tout effet durable de la fracture a été minime.

Le patinage peut être un sport dangereux, une raison de plus que chacun s’informe des risques connexes et du traitement des blessures, en particulier de toute blessure à la tête. Félicitations à Patinage Canada pour son mandat de sport sécuritaire, qui reconnaît que des blessures à la tête peuvent survenir sur la patinoire, à tout moment et à n’importe qui, allant des patineurs de Patinage Plus à l’équipe nationale, aux entraîneurs et aux bénévoles.

La nouvelle application éducative sur les commotions cérébrales de Patinage Canada « présente une méthode axée sur le suivi des signes et des symptômes de commotions cérébrales, à la suite d’un diagnostic, permettant à l’utilisateur de suivre la durée et la gravité des symptômes. L’application joint de la recherche scientifique éprouvée à de la matière amusante et captivante, pour assurer que l’information est accessible à tous, que vous soyez un athlète, un parent, un éducateur ou un entraîneur. »

Si vous n’avez pas déjà examiné la documentation sur les commotions cérébrales, je vous recommande fortement de prendre du temps pour vous éduquer. Pour traiter une personne comme moi, qui a subi un grave traumatisme crânien, vos connaissances pourraient aider à sauver la vie de quelqu’un.

Aujourd’hui, avec de telles vastes connaissances sur les traumatismes crâniens, je me rends compte de la chance que j’ai eue d’être à Cortina : chanceuse que mon entraîneur, Bruce Hyland, et le médecin de notre équipe, le Dr Ormsby (oui, ce Dr Ormsby) étaient vigilants, bien informés et exigeants, quant aux services offerts et à ce qui était requis pour un traitement sûr et complet à l’époque. Cinq décennies plus tard et compte tenu des connaissances que nous possédons maintenant, je me demande souvent, par exemple, si cette blessure s’était produite aujourd’hui, est-ce qu’on m’aurait autorisée à prendre un vol de 9 heures pour rentrer à la maison, si j’aurais été hospitalisée plus longtemps, quels tests auraient été effectués et quels autres traitements auraient été prescrits en vertu de la recherche médicale moderne?

J’ai eu de la chance. Heureusement, pour moi, le pire c’est que Guy et moi n’avons jamais fait cette levée à nouveau.

L’application éducative sur les commotions cérébrales de Patinage Canada est offerte gratuitement, en anglais et en français, par l’intermédiaire de l’App Store, de Google Play et une version sur le Web s’adresse aux utilisateurs de Blackberry et de Window.

Kurt Browning continue de nous divertir en ces temps difficiles

*Seulement en anglais

Toller Cranston aurait eu 71 ans le 20 avril

Seulement en anglais

Charlie Bilodeau se retire du patinage de compétition

L’olympien et médaillé national Charlie Bilodeau, âgé de 26 ans, de Trois-Pistoles, au Québec, a annoncé aujourd’hui sa retraite du patinage de compétition.

Depuis plus d’une décennie, Charlie représente le Canada, dans la discipline du patinage en couple. Au nombre de ses points saillants en compétition, mentionnons la participation à trois championnats du monde, quatre médailles remportées au niveau national et la participation aux Jeux olympiques d’hiver de 2018.

Charlie a concouru aux Jeux olympiques d’hiver de 2018, avec sa partenaire Julianne Séguin. Ensemble, au niveau junior, ils ont remporté la Finale du Grand Prix junior ISU en 2014 et obtenu la médaille d’argent aux Championnats du monde juniors ISU de patinage artistique 2015.

Plus récemment, en 2019, Charlie a fait équipe avec Lubov Ilyushechkina, âgée de 28 ans, de Toronto, en Ontario. Durant leur court partenariat, ils ont gagné deux médailles internationales, ainsi que la médaille de bronze aux championnats nationaux.

Au cours des prochains mois, Lubov examinera les choix qui s’offrent à elle.

Patinage Canada remercie Charlie et lui souhaite bonne chance dans ses projets futurs.

ENFIN LIBRE – par Charlie Bilodeau (p

« Inspirer tous les Canadiens à vivre la joie du patinage »

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