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Benoît Lavoie – Partie 2

Le mois dernier, nous avons eu l’occasion d’écouter la conversation entre l’ancien président de Patinage Canada, Benoît Lavoie, et la médaillée d’argent olympique Debbi Wilkes, lorsqu’ils ont discuté des débuts de Benoît en patinage. Ce mois-ci, c’est la deuxième partie de la conversation lorsque Benoît parle franchement du patinage, de ses joies et de ses défis et de son rôle au sein du conseil de l’ISU.

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Moment magique pour un couple canadien de danse sur glace – Joni Graham et Don Phillips

par Barry Soper

Durant la sixième année seulement d’existence relativement nouvelle et« virtuelle » de son Temple de la renommée, la section de C.-B./Yn de Patinage Canada a décidé d’introniser deux danseurs sur glace canadiens accomplis, dans la catégorie des athlètes, soit Joni Graham et Don Phillips, de Colombie‑Britannique, champions de danse sur glace du Canada en 1967 et 1968.

Bien que Don soit décédé en 1997, âgé de seulement 53 ans, Joni, son mari Ron Taylor et leur fière famille ont assisté au gala annuel de remise des prix et d’intronisation au Temple de la renommée de la section de C.-B./Yn, le 27 avril 2019, en vue d’accepter l’honneur au nom de cette équipe douée de danse sur glace de C.-B. Sur place, pour recevoir l’honneur conféré à Don, son fils Ashton Phillips, de Vancouver, a appris beaucoup plus sur ce chapitre passionnant du passé de son père.

Outre les réalisations supplémentaires en tant que champions canadiens de danse sur glace junior, en 1966, et après être passés au niveau senior, obtenant une médaille d’argent aux championnats de patinage artistique nord-américains de 1967, Joni et Don ont réussi à obtenir deux classements parmi les dix premiers aux deux Championnats du monde auxquels ils ont concouru, en 1967 et 1968.

Grâce à leur 6e place aux championnats du monde de patinage artistique de 1967, à Vienne, en Autriche (le dernier événement mondial tenu sur une patinoire extérieure), Joni et Don se sont qualifiés et ont été l’un des six couples invités par le Comité international olympique, conjointement avec l’ISU, à faire une démonstration de danse sur glace aux Jeux olympiques de 1968, à Grenoble, en France.

Quelle en était l’importance?

D’un point de vue historique, la danse sur glace, la 4e des quatre disciplines du patinage artistique, officiellement ajoutée aux championnats du monde de patinage artistique de 1952, n’était pas incluse comme discipline olympique à l’époque. Bien que les trois autres disciplines du patinage en simple masculin, du patinage en simple féminin et du patinage en couple avaient été le pilier du patinage artistique au niveau mondial, depuis ses débuts vers la fin des années 1800 (le patinage en couple a été ajouté en 1908), ce n’est qu’en 1936 que la danse sur glace a été ajoutée au championnat mondial, après son évolution de son initiale « danse de salon sur glace » au plus grand mouvement sur la glace. C’est cette transition vers une plus grande performance athlétique qui a finalement incité le Comité international olympique à adopter la danse sur glace, comme discipline officielle de patinage artistique olympique, aux Jeux olympiques d’hiver de 1976, à Innsbruck, en Autriche.

Ainsi, Joni et Don faisaient partie de ce contingent de six équipes de danse sur glace en 1968, dirigé par les champions du monde de danse sur glace, Diane Towler et Bernard Ford, de Grande-Bretagne, pour montrer au monde « olympique » qu’en effet, la danse sur glace était bien une discipline des Jeux olympiques d’hiver.

L’impact sur le monde du patinage, en particulier dans la discipline de la danse sur glace, a été important. Dans la perspective d’inclure la danse sur glace comme sport olympique, la discipline a attiré beaucoup plus de patineurs.

Comment est-ce que Joni et Don se sont donc trouvés dans cette position enviable aux Jeux olympiques d’hiver de 1968?

Joni était l’une des nombreuses patineuses en simple potentielles qui avait fait preuve d’ouverture d’esprit pour explorer la discipline de la danse sur glace. S’entraînant sous la direction compétente de l’entraîneur de longue date et mentor Hellmut May, et membre du Club de patinage artistique Kerrisdale, à Vancouver, Joni a reconnu qu’il y avait un important « obstacle » à surmonter : « J’ai besoin d’un partenaire de danse sur glace! ». Il s’est trouvé que Florence Morgan, juge de patinage de longue date, a informé Joni qu’un danseur environ du même âge faisait des essais pour trouver une partenaire à son club d’appartenance, le Capilano Winter Club, à North Vancouver. Par conséquent, Joni a demandé de participer aux essais avec l’affable et fringant Don Phillips, qui s’entraînait sous la direction de l’entraîneur du club, Alex Fulton. L’audition de Joni à cet essai a été un succès et Don a décidé qu’il avait trouvé la « bonne partenaire ». Ensuite, on a décidé qu’Alex Fulton et Hellmut May seraient les entraîneurs de l’équipe et que chaque patineur représenterait son propre club.

Une fois le partenariat formé, l’équipe s’est vite soudée et s’est déterminée à prouver sa cohésion en se qualifiant pour concourir en danse junior, aux Championnats nationaux de 1965, à Calgary, où elle a remporté une médaille d’argent. Bien que Joni et Don s’entraînaient dans deux clubs, il était clair néanmoins que cette équipe de danse sur glace profiterait de l’occasion qui lui était donnée pour faire quelque chose de spécial. L’année suivante, ils ont gagné l’épreuve de danse junior (1966) et se sont dirigés vers l’épreuve senior.

Après ce début prometteur, on a conseillé à Joni et Don de s’informer de ce qui se passait à un nouveau club de patinage sur la rive nord, le Hollyburn Country Club, à West Vancouver, où l’ancienne championne du monde de danse sur glace, Jean Westwood, était entraîneure. Jean avait un grand impact sur le monde de l’entraînement de la danse sur glace, attirant les meilleures équipes de danse sur glace américaines, et elle cherchait des équipes canadiennes pour compléter son programme. En 1966, Joni et Don sont devenus membres de ce centre d’entraînement très compétitif, qui a pu attirer de nouveaux entraîneurs potentiels de compétition. Des personnes comme Robin et Heather Jones ont aidé Jean à créer et guider d’excitantes équipes de danse sur glace de compétition se disputant les médailles canadiennes, américaines et mondiales de danse sur glace – à une époque où une chorégraphie et des levées de danse intéressantes ont rehaussé la qualité et la difficulté du sport.

Les résultats de la recherche de Joni et Don et leur engagement à tirer le meilleur parti de l’occasion qui leur était offerte ont démontré l’importance de patiner dans un environnement d’entraînement concurrentiel, dirigé par des entraîneurs accomplis et motivés.

L’autre force émergente en danse sur glace, à ce moment, était l’arrivée des équipes russes de danse sur glace, qui mettaient l’accent sur la vitesse et les programmes spectaculaires. En 1969, Liudmila Pakhomova et Alexander Gorshkov étaient déjà sur le podium, juste avant leur série de titres mondiaux en danse sur glace, à compter de 1970.

En guise de dénouement de la carrière de danse sur glace de Joni et Don, l’équipe a été invitée à se joindre aux Ice Follies, en 1968, une façon attrayante et lucrative de mettre fin à une carrière de patinage. D’autres priorités sont ensuite apparues et Joni et Don se sont séparés, Joni ayant rencontré son futur mari pendant la tournée avec Ice Follies et s’installant aux États-Unis, tandis que Don a choisi d’amorcer sa carrière d’entraîneur à Peterborough. Peu après, Joni a quitté les États-Unis, comme mère célibataire, pour commencer sa carrière d’entraîneure au Royal Glenora Club, à Edmonton, en Alberta, tandis que Don est retourné en Colombie-Britannique, pour reprendre sa vie où il l’avait laissée, épousant sa première femme. Cependant, de nouveaux chapitres seraient rédigés pour ces deux partenaires.

Don a trouvé un travail très intéressant en tant qu’entraîneur à Santa Rosa, en Californie, dans une patinoire construite par le célèbre animateur-graphiste américain Charles Schulz (renommé pour Snoopy). C’est là qu’il a rencontré et épousé sa seconde femme, avec qui il a eu deux enfants. Malheureusement, la vie de Don a été écourtée en 1997, lorsqu’il est décédé à l’âge de 53 ans.

Au nord de la frontière, Joni est retournée en Colombie-Britannique, lorsque ses fils ont terminé leurs études et a commencé à travailler comme entraîneure, au CPA de Coquitlam, dans la région du Grand Vancouver. Peu après, Joni a rencontré et épousé son deuxième mari, Ron Taylor, en décembre 1996 –un mariage célébré avec le chanteur de noces spécial, Michael Buble, un grand ami des deux fils de Joni. Joni et Ron se tiennent à présent occupés avec neuf petits-enfants, en plus de la mère de Ron, âgée de 101 ans, et l’oncle de Joni, âgé de 103 ans.

Félicitations à Joni Graham et Don Phillips, une équipe de Colombie-Britannique entrée dans l’histoire de la danse sur glace et honorée par son intronisation au Temple de la renommée virtuel de la section de C.‑B./Yn.

Souvenirs de Moscou (1978)
par Robert McCall

Tout ceci semble irréel pour moi, maintenant, comme un rêve invraisemblable. Nous étions, en fait, en route pour l’Union soviétique, afin de participer à la compétition Moscow Skate.

Seulement deux semaines plus tôt, j’étais couché sur un lit d’hôpital à Darmouth, en Nouvelle-Écosse, avec d’énormes taches rouges partout sur le corps et un tube qui pendait de mon bras. Peu de gens croyaient que je serais assez bien pour le Moscow Skate, mais j’étais déterminé que rien n’allait m’empêcher de patiner avec les meilleurs danseurs sur glace au monde. Même pas la scarlatine!

Heureusement, j’ai été assez bien le jour de notre départ. Ma partenaire Marie McNeil, notre entraîneure Janet Dunnet Purdy et moi sommes montés à bord d’un avion à réaction, à Halifax, et nous nous sommes envolés pour Toronto, où nous devions rencontrer Billie Mitchell, de Vancouver, et la juge internationale de Toronto, Suzi Francis. Tous les cinq, nous nous sommes ensuite envolés pour Londres, en Angleterre, où nous devions prendre un vol de correspondance à destination de Moscou.

Toutefois, Londres prévoyait autre chose pour nous! Quand nous sommes arrivés à l’aéroport de Londres, le brouillard était tellement dense que nous avons dû faire un détour en Écosse et atterrir à Preswick. Après un délai de deux heures, nous avons pu décoller pour Londres et y atterrir.

Jamais je n’oublierais Mme Mitchell qui s’affairait à l’aéroport de Londres. Son énergie est phénoménale et juste à la regarder, j’en étais épuisé. Tandis que le reste d’entre nous s’est écrasé sur les chaises disponibles, Mme Mitchell a organisé, en un temps record, le reste de notre horaire de vol à Moscou.

Étant donné que nous devions passer la nuit à Londres, nous avons emprunté une route pittoresque pour nous rendre à notre hôtel et vu cette magnifique ville, dans la splendeur de ses lumières de Noël.

Le lendemain matin, nous avons pris un vol pour Francfort, en Allemagne, puis sommes montés à bord d’un avion de ligne russe. Lorsque nous avons atterri à Moscou, nous sommes facilement passés à la douane et avons été emmenés rapidement à notre hôtel, Hotel Russia.

Notre chambre d’hôtel était très similaire à une chambre canadienne ou américaine, mais me souvenant de l’histoire d’une Canadienne qui avait trouvé une étrange bosse sous le tapis de la chambre de son hôtel, à Moscou, j’ai fait attention de ne pas toucher à aucune vis ou installation fixe. Apparemment, cette touriste craignait que la vis sous le tapis contienne un dispositif d’écoute quelconque, donc elle avait pris un tournevis et l’avait desserrée – seulement pour entendre qu’un lustre s’était écrasé sur le plancher de la chambre en dessous!

Lorsque nous sommes entrés dans le restaurant de l’hôtel pour notre premier repas, nous avons été surpris de voir les patineurs britanniques Carol Long et John Philpott et l’entraîneur Bobby Thompson. Marie et moi étions devenus de bons amis de Carol et John, à Lake Placid, New York, et avions aussi travaillé avec M. Thompson à ce moment. Après avoir bavardé un peu, nous avons été emmenés à notre table, où nous avons trouvé un drapeau canadien familier comme milieu de table.

Un groupe de musiciennes nous a divertis pendant le repas. La plupart d’entre nous avaient peu d’appétit à ce stade. Marie et Janet étaient dans la lune, tandis que Mme Mitchell et le Dr Francis mangeaient poliment un peu de nourriture. Moi, par contre, j’ai attaqué mon assiette avec toute la grâce et l’élégance d’un lutteur professionnel.

Lorsque nous nous sommes réveillés le lendemain matin, nous avons été accueillis par une légère chute de neige. De ma fenêtre, je pouvais voir une église orthodoxe grecque, avec ses imposantes mosquées. Nous avons pris un autobus pour traverser la ville, en direction du célèbre Palais des sports pour notre première séance d’entraînement. Les rues étaient remarquablement propres et la neige était blanche. Pas comme la boue brunâtre à la maison! Nous sommes passés devant le palais du tsar, le Kremlin et l’église Saint‑Basile, tous des rappels de l’élégance et de la splendeur d’une ère révolue.

À la patinoire, les Russes s’entraînaient déjà. Les séances d’entraînement étaient divisées en deux groupes, sept équipes russes dans une séance et les équipes de toutes les autres nations (six, dont le Canada) dans le second groupe. Toutes les équipes de danse russes sur glace allaient concourir, sauf les champions du monde, Natalia Linichuk et Gennadi Karponosov, qui feraient une démonstration.

La première soirée de compétition incluait le programme court de patinage en couple et les danses imposées. Toutes les équipes de patinage en couple, sauf une équipe d’Allemagne de l’Est, étaient russes. J’étais impressionné par la précision et les habiletés des Russes.

Me produire devant 18 000 spectateurs, contre les anciens champions du monde, après une seule séance d’entraînement obligatoire – ça me dépassait presque. Heureusement, Marie était assez calme pour épauler l’équipe. Dans les circonstances, nos danses n’étaient pas d’importance historique, à l’exception de la Polka Yankee. À l’issue de la première soirée de compétition, nous étions en 12e place.

Le public russe était extrêmement réceptif et encourageait tous les patineurs. Aucune place n’était libre pendant l’entière compétition.

Après la première soirée de compétition, nous avons assisté au Ballet Bolchoï, dans le hall du grand opéra. Notre hôte, Natalia Linichuk, est venue nous chercher à notre hôtel. Ce fut une expérience mémorable. La salle était bondée et les danseurs ont été acclamés comme des héros nationaux.

Le lendemain, nous étions invités à dîner avec l’ambassadeur du Canada, le Dr D. Ford. Malgré le fait que j’ai renversé du jus de tomate partout sur un tapis blanc dispendieux, le dîner s’est bien déroulé et Son Excellence s’est joint à la section des spectateurs, qui poussaient des acclamations, pour les performances d’exhibition de la dernière journée, jetant des bouquets de roses pour Marie et moi après notre numéro.

La deuxième phase de la compétition de danse était la danse sur tracé original prescrit (valse). Nous étions heureux de notre exécution de la valse, bien que nous savions qu’il était presque impossible pour nous de monter dans les rangs après la danse imposée.

La compétition s’est terminée samedi après-midi. Dans l’ensemble, ce fut une compétition de très haut calibre. En patinage en simple féminin, Teresa Foy, de Grande-Bretagne, avait brillé dans les programmes courts et longs de style libre, mais chuté dans les classements après les figures. La championne a été Carola Weissenberg, d’Allemagne de l’Ouest. Pour un pays qui a produit des champions du monde en patinage en simple masculin, en patinage en couple et en danse, la Russie ne compte pas encore de championne du monde en simple féminin.

Les épreuves de patinage en couple et de patinage en simple masculin étaient spectaculaires, mais c’était vraiment la danse sur glace qui avait captivé l’attention de l’auditoire. Andrei Minenkov et Irina Moisseva ont patiné avec l’aisance et la confiance des champions du monde et toutes les équipes russes ont exécuté des programmes pleins d’imagination et créatifs.

Après la dernière épreuve, les officiels russes ont organisé une réception pour tous les patineurs, juges et officiels invités. Les concurrents ont reçu des médailles commémoratives en souvenir de Moscou et de la compétition. Il ne fait aucun doute, nous ne l’oublierons pas!

Concourir avec les excellentes équipes russes, découvrir l’histoire et la splendeur de Moscou, renouer avec de vieux amis… tous ces souvenirs de Moscou resteront gravés dans notre esprit pendant longtemps.

Kurt Browning reçoit l’Ordre du Canada

L’Ordre du Canada est l’une des plus prestigieuses distinctions honorifiques civiles au pays. Ses Compagnons, Officiers et Membres reflètent la devise de l’Ordre : DESIDERANTES MELIOREM PATRIAM (Ils désirent une patrie meilleure).

Son Excellence présente l’insigne de Membre de l’Ordre du Canada à Kurt Browning, C.M.Son Excellence la très honorable Julie Payette, gouverneure générale du Canada, a remis l’Ordre du Canada à 1 Compagnon, 7 Officiers et 21 Membres lors d’une cérémonie d’investiture à la Citadelle, le 4 juillet 2019.Credit/Mention de source: Sgt Johanie Maheu, Rideau Hall.

Kurt Browning a été l’un des vingt et un récipiendaires à recevoir l’Ordre du Canada lors d’une cérémonie à la Résidence du Gouverneur général à la Citadelle de Québec, le 4 juillet 2019. Vous trouverez ci-dessous une brève biographie de Kurt Browning rédigée par la gouverneure générale.

Champion du monde de patinage artistique de 1989, cet Albertien décontracté est admiré pour ses performances habiles et disciplinées. Sa nouvelle vision et sa personnalité attrayante font de lui un excellent modèle pour la jeunesse de ce pays et un ambassadeur impressionnant du patinage artistique, incarnant les idéaux du sport amateur canadien.

Félicitations, Kurt!

Champion olympique, Eric Radford épouse Luis Fenero en Espagne!

Photo par Victor Lax

Après deux ans de fiançailles, Eric Radford, médaillé olympique à trois reprises, a épousé le danseur sur glace Luis Fenero ce mois-ci lors d’une magnifique cérémonie de mariage en plein air en Espagne.

Dans un article publié récemment sur les médias sociaux, Eric exprime ses sentiments à propos de sa journée spéciale.

« Les mots ne peuvent jamais expliquer à quel point les derniers jours ont été incroyables. Une quantité d’amour que je n’aurais jamais pu imaginer et un jour de mariage que je n’aurais jamais pu rêver. Merci à l’incroyable Victor Lax d’avoir capturé les meilleurs moments de ma vie et en les transformant en art « .

Siobhan Karam se marie le week-end dernier!

Siobhan Karam, championne nationale canadienne junior et concurrente du Grand Prix ISU en danse sur glace, a célébré son mariage de rêve le 20 juillet quand elle a épousé l’auteur-compositeur-interprète Mike Godwin au Nonantum Resort à Kennebunkport, Maine.

Félicitations et votre plus grande aventure ne fait que commencer.

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